Le noir. Le néant. T'est seul, ta froid, tu sais pas où tu est. Tu essaie d’ouvrir la bouche de parler, de crier mais ta bouche est bien trop pâteuse ou bien trop endoloris. T'aurais pas du prendre se dernier verre. Ou alors si tu as bien fait de le prendre mais t'aurais pas du le jeter au visage du type qui te regardais mal ! Ouais c'est ça, t'aurais pas du faire ça ! T'ouvre les yeux. La lumière filtre à travers tes rideaux épais. Il doit être 10 heures. Tu regarde autour de toi. Ouais c'est bien ta chambre. T'est bien tout seul et ta mal au crâne. T'aimerais que ton frère, tes sœurs quelqu'un te disent d'arrêter tes conneries. Qu'on te montre qu'on tient à toi. Mais tu t'en moque. T'a pris l'habitude. Puis tu ne peux pas vivre sans faire de conneries. Parce que c'est sa ta vie. Te réveiller. Seul dans le noir complet tans que tu n'as pas ouvert les yeux, en ayant froid parce que putain tu t'est coucher à poile la fenêtre derrière les rideaux ouverte et que ta couette est tomber, ta tellement consommer la veille que tu ne sais pas si tu a encore ta voix et si tu auras assez d'aspirine pour faire passer la douleur. Ouais. T'aime ta vie.